- Que les chefs ou responsables d’établissement et les encadrants sportifs déclarent en début d’année leur hostilité au bizutage et leur soutien aux nouveaux pour qu’ils refusent tout acte que leur imposeraient les anciens et qu’ils n’auraient pas envie de faire.
- Qu’une personne référente soit désignée dans chaque établissement pour accueillir et écouter les victimes et ceux qui osent parler.
- Que l’interdiction du bizutage figure au règlement intérieur de tous les établissements.
- Que le programme de tous les week-ends et soirée d’intégration soit validé par les responsables d’établissements.
- Que des sanctions sévères soient prises rapidement à l’encontre des bizuteurs et de ceux qui les soutiennent ou qui les laissent faire.
- Qu’on ne tolère plus que des faits délictueux se déroulent sur la voie publique sans intervention de la police.
- Que lorsque des plaintes sont déposées elles ne soient pas classées sans suite.